La carte-prise de notes
La prise de notes est, de loin, l’activité la plus courante chez les journalistes. La carte, avec ses multiples atouts, se prête très bien à l’exercice.
La prise de notes est, de loin, l’activité la plus courante chez les journalistes. La carte, avec ses multiples atouts, se prête très bien à l’exercice.
La carte, par ses qualités d’exploration méthodique et transparente, dissipe les peurs de l’intervieweur comme de l’interviewé.
Chercher des angles est le casse-tête favori des journalistes. Structurante et ouverte aux nouvelles idées, la carte est l’outil idéal pour ce brain storming.
Construire un article, c’est collecter les informations, les hiérarchiser de manière cohérente puis les interpréter. Structurante et souple à la fois, la mind map est l’outil rêvé pour « penser » son papier.
Nombre de productions journalistiques sont des synthèses agrégeant des informations de sources diverses. La mind map canalise cette profusion et offre, au final, une vue d’ensemble du sujet à traiter.
L’analyse traite en profondeur une masse d’informations et les met en perspective. La carte permet une collecte systématique des chiffres, citations, idées et un réagencement cohérent de l’ensemble.
Le reporter doit à la fois préparer son travail de terrain, collecter sur place informations et sensations et reconstruire une fois de retour. La carte est l’outil idéal pour mener à bien ces 3 étapes.
Le portrait permet de découvrir une personnalité dans son ensemble, avec des données factuelles et d’autres plus subjectives. La carte exploratoire permet de balayer toutes les informations à collecter.
Le dossier aborde des sujets denses et complexes qu’il faut découper en angles et scénariser. Ici, la mind map joue à plein son double rôle d’exploration de différentes pistes, de structuration et de hiérarchisation.
L »enquête exige une organisation sans faille et une exploration intelligente de toutes les pistes d’investigation. Structurante et souple, la carte est l’outil idéal pour cette démarche au long cours
Experts dans leur domaine, les journalistes peuvent être amenés à communiquer leurs connaissances oralement. La carte permet de « ranger » son savoir, de le mémoriser pour mieux le présenter.
La richesse des dispositifs web – grande variété de traitements éditoriaux, de médias et de supports – rend leur cohérence difficile à établir. La carte perce cette complexité et permet d’y voir plus clair.
La réalisation d’un dossier web suppose une bonne utilisation des différents médias. La mind map permet de construire le dossier, fait apparaître les possibilités de traitement et élimine les redondances.
Les journalistes pigistes ressentent de plus en plus la nécessité d’avoir leur site web, un « super-CV » qui doit être pensé dans sa globalité. La carte permet de réfléchir l’ensemble des infos et services à prévoir.
Un webdocumentaire, dense en informations et en parcours de lecture, peut être préparé, visualisé et scénarisé avec une mind map. Elle fait office de bloc-notes, de guide et d’espace de créativité.
Une des applications de la « carte planification » est celle du chemin de fer, l’organisation de la production d’une publication papier. La carte permet de dessiner un rétroplanning structurant les tâches à réaliser.
Devoir gérer simultanément une multitude d’activités est le lot commun de nombreux professionnels… et tout particulièrement des journalistes ! La carte-planification organise vos tâches de l’essentiel au non essentiel.
La « carte planification » permet aux journalistes d’établir un conducteur, c’est-à-dire d’organiser dans le temps la production d’un journal télévisé ou d’une émission de radio et d’en visualiser le déroulé avec précision.
La qualité du travail d’un journaliste est liée à la qualité de ses informations, de ses sources et de ses documents. Conciliant densité et lisibilité, la carte se révèle ici un outil très approprié.
Dans une photothèque, la matière à classer est très abondante. La mind map permet de produire une carte principale et des sous-cartes rattachées à la première.
Certains processus de production internes s’apparentent à un mille-feuilles incompréhensible car suivant une logique « historique ». La carte va permettre de remettre tout à plat… au sens littéral du terme.